Agile Dojo® – Scrum et Biais Cognitifs – Luc Taesch – 14 Avr. 2014

Agile Dojo® – Scrum et Biais Cognitifs – Luc Taesch – 14 Avr. 2014

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Vous ne connaissez pas les biais cognitifs, et pourtant vous les pratiquez tous les jours, sans le savoir. Soit vous pratiquez des rites agiles, soit vous les ignorez et tombez dedans. En effet la différence entre l’agile et le V, c’est l’application de techniques qui prennent en compte nos biais cognitifs.

Les biais cognitifs sont des « patterns », les briques de la pensée humaine, et les briques avec laquelle nous construisons nos pensées ne sont pas carrées. La perception du temps, de l’inconnu, de l’incertitude, de l’intuition, de la prise de décision, de la complexité, de la vie en groupe ne sont pas des éléments froids et rationnels.

L’Agile prends ces dimensions en compte, alors que les organisations classiques et le cycle en V, ignorent la dimension humaine (et échouent, la plupart du temps).

Mais d’ou viennent ces rites agiles? Pourquoi ça marche? Comment ça marche? Jouons à découvrir quels biais cognitifs se cachent derrière nos rites agiles. Je vous donnerai une série de cartes à jouer représentant les biais, et façon planning poker, nous partagerons quels sont les biais cognitifs que nous reconnaissons dans les rites agiles.

Nous ferons le même jeu avec le cycle en V, pour reconnaître quels sont les biais qui se manifesteront probablement. Nous mentionnerons aussi rapidement les liens avec Lean, design thinking, et décision quality. Et nous finirons sur l’évangélisation Agile.

La prochaine fois que vous rencontrerez votre CEO, vous aurez un choix de plus. Vous pourrez pourrez soit lui dire :l’Agile, c’est génial, et je fais mieux avec mes post it que vos quatre planificateurs de Harvard. (mais je peux pas vous donnez de dates) . Faut essayer . ( mais si ce n’est pas un être émotionnel et enthousiaste , qui accorde sa confiance immédiatement , ça risque de pas super bien marcher). » – Soit « saviez vous que Daniel Kahneman a eu un Nobel d économie en 2002 , et que c’est le premier et le seul non économiste a avoir eu un Nobel d’économie ? C’est un psychologue qui a passé 30 années de recherche pour reconnaitre et modéliser nos biais cognitifs, ces patterns de la pensée humaine, et leur application à l’économie comportementale ». Si vous l’ignorez , les TIC vont vous gratter encore un bout de temps… »

Références bibliographiques :

  • Kahneman, D. (2011). Thinking, fast and slow. Farrar, Straus and Giroux.

  • Tversky, A., & Kahneman, D. (1974). Judgment under uncertainty: Heuristics and biases. Science, 185(4157), 1124-1131.

  • Ariely, D. (2009). Predictably irrational: The hidden forces that shape our decisions. HarperCollins.

  • Lencioni, P. (2012). The advantage: Why organizational health trumps everything else in business. John Wiley & Sons.

  • Beck, K., Beedle, M., Bennekum, A., Cockburn, A., Cunningham, W., Fowler, M., … & Sutherland, J. (2001). Manifesto for agile software development. Agile Alliance.

  • Schwaber, K. (1997). SCRUM development process. In Business object design and implementation (pp. 117-134). Springer, Boston, MA.

  • Sutherland, J., & Schwaber, K. (2011). The Scrum guide. Scrum.org.

  • Nonaka, I., & Takeuchi, H. (1995). The knowledge creating company: How Japanese companies create the dynamics of innovation. Oxford University Press.

  • Brown, T. (2009). Change by design: How design thinking transforms organizations and inspires innovation. HarperCollins.

  • Latham, G. P., & Locke, E. A. (1991). Self-regulation through goal setting. Organizational behavior and human decision processes, 50(2), 212-247.

  • Duhigg, C. (2012). The power of habit: Why we do what we do in life and business. Random House.

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Luc Taesch

Luc Taesch

Luc est une personne biaisée par la gestion de projets depuis 25 ans, dans de petites et grandes organisations, qui s’est toujours demandé pour quoi c’était compliqué de travailler, seul ou en groupe, alors qu’on pourrait jouer, et comment faire pour rendre la vie plus simple. Il a joué à être Agile depuis 1999, et ses passions sont le développement personnel et des autres, la psychologie cognitive, les art martiaux, le zen et le yoga.

Agile Dojo® – Agile et Théorie de Palo Alto sur la Communication – 25 Mars 2015

Agile Dojo® – Agile et Théorie de Palo Alto sur la Communication – 25 Mars 2015

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L’approche de la communication élaborée au Mental Research Institute de Palo Alto, communément appelée l’école de Palo Alto, est une théorie de la communication humaine basée sur l’observation clinique de la communication entre les individus dans les contextes sociaux. Nous l’appelons par extension, la théorie de Palo Alto. 

Elle a été développée dans les années 1960 par un groupe de chercheurs, dont Paul Watzlawick, Gregory Bateson, et Don D. Jackson. Cette approche de la communication considère la communication comme un processus interactif et non linéaire, où les messages échangés ne sont pas seulement verbaux, mais aussi non-verbaux, et où la signification de chaque message est construite par les interlocuteurs en fonction de leur contexte et de leurs expériences.

Cette approche de la communication a eu une influence importante sur le domaine de la thérapie familiale et conjugale, ainsi que sur le développement de l’approche systémique. Elle a également été appliquée dans d’autres domaines, tels que la psychologie organisationnelle, la résolution de conflits, et l’agilité.

L’atelier sur la logique de la communication et ses applications à l’agilité est une session interactive qui vise à aider les participants à mieux comprendre la communication et à appliquer ces connaissances dans leur pratique de l’agilité.

Déroulé de l’atelier

  1. Introduction : Le facilitateur de l’atelier présente l’approche de Palo Alto et ses principes fondamentaux en matière de communication. Il explique également comment ces principes peuvent être appliqués à l’agilité.
  2. Exercices pratiques : Les participants sont invités à jouer à des jeux de rôle et à des simulations pour explorer la communication dans différents contextes. Par exemple, ils peuvent simuler une réunion d’équipe agile, un sprint planning, ou une rétrospective. Pendant ces simulations, le facilitateur de l’atelier encourage les participants à observer leur propre communication, à identifier les différents niveaux de communication, et à comprendre comment leur communication peut être interprétée par les autres membres de l’équipe.
  3. Discussion : Après chaque simulation, le facilitateur de l’atelier anime une discussion pour aider les participants à réfléchir sur leur communication et à identifier les aspects qui ont fonctionné et ceux qui peuvent être améliorés. Il utilise également des exemples pour illustrer les principes de communication de Palo Alto et comment ils peuvent être appliqués dans l’agilité.
  4. Synthèse : À la fin de l’atelier, le facilitateur récapitule les principaux points abordés, en soulignant les éléments clés de la logique de la communication de Palo Alto et en montrant comment ils peuvent être appliqués dans les projets agiles.

Conclusion

L’atelier sur la logique de la communication de Palo Alto et ses applications à l’agilité est une session interactive qui permet aux participants d’acquérir des outils pratiques pour améliorer leur communication dans leur pratique de l’agilité. Cette approche de la communication est un complément précieux aux outils et aux techniques agiles, car elle aide à comprendre la complexité de la communication humaine et à mieux réussir les projets agiles.

Jean-Hugues Congia

Jean-Hugues Congia

JH. Congia est un enseignant en agilité à l’EPMI et un fondateur/dirigeant de la société ARCELIO. Il possède une expérience pratique de plus de 10 ans dans le domaine de l’agilité, et est certifié CSM (Certified Scrum Master), CSPO (Certified Scrum Product Owner), HBDI (Herrmann Brain Dominance Instrument) et Lego Serious Play.

Ses centres d’intérêt sont axés sur la conduite du changement vers l’agilité et sa facilitation par le jeu. Cela signifie qu’il utilise des techniques de jeu pour aider les individus et les équipes à adopter des pratiques agiles, à améliorer la communication, la collaboration et la créativité.

En tant qu’enseignant en agilité, JH. Congia partage son expérience pratique et ses connaissances théoriques avec ses étudiants, en leur fournissant des outils pour réussir dans leur futur métier. Il utilise des exemples concrets et des exercices pratiques pour rendre la formation plus interactive et engageante.

En tant que fondateur et dirigeant de la société ARCELIO, JH. Congia travaille avec des entreprises pour les aider à adopter des pratiques agiles et à améliorer leur performance. Il utilise une approche basée sur le jeu pour faciliter la communication, la collaboration et la créativité au sein des équipes et pour les aider à atteindre leurs objectifs.

Alerte à la DSI ! – Agile Dojo du 24 FÉVRIER 2015

Alerte à la DSI ! – Agile Dojo du 24 FÉVRIER 2015

L’environnement des entreprises évolue constamment, obligeant les DSI à s’adapter rapidement pour répondre aux changements du marché. Cependant, les organisations actuelles ne sont pas toujours adaptées pour y faire face. Dans cet atelier « Alerte à la DSI » animé par Nicolas Delahaye, nous proposons d’explorer différents types d’organisations permettant de réaliser un produit, qu’il soit digital ou autre, en nous concentrant sur l’avion en papier.

Au cours de cet AGILE DOJO®, nous explorerons cinq modes d’organisation différents en construisant deux avions avec chaque méthode. Pour cela, chaque équipe sera équipée d’un matériel comprenant un feutre bleu, un feutre rouge, un rouleau de ruban adhésif et des instructions pour les différents postes. Les huit postes de travail seront définis avec des opérations différentes, et chaque équipe sera chargée de construire un avion en suivant ces instructions.

Durant les itérations, nous mesurerons le temps de fabrication, le nombre d’avions livrés, le nombre d’avions rejetés, le nombre d’avions en cours de production et le nombre d’avions non livrés. À la fin de chaque itération, nous demanderons un feedback sur le déroulé.

Nous commencerons par explorer l’organisation linéaire, suivie de l’organisation parallèle. Nous continuerons ensuite avec l’organisation par paire, l’organisation équilibrée par équipe et enfin l’organisation agile.

Les résultats de chaque méthode seront analysés à la fin de chaque itération pour déterminer les leçons apprises. Nous discuterons des avantages et des inconvénients de chaque mode d’organisation et de leur pertinence pour répondre aux évolutions et aux changements du marché.

Cet atelier permettra aux participants d’acquérir une vision complète de la chaîne de réalisation, d’explorer différentes méthodes d’organisation et de découvrir de nouveaux moyens de travailler en équipe. En outre, cela permettra également aux participants de renforcer leur esprit d’équipe et leur collaboration pour atteindre les objectifs fixés.

DÉROULEMENT

Nous explorons 5 types d’organisation et prendrons un temps de débriefing pour échanger sur ce que nous avons découvert.

INSTRUCTION POUR CHAQUE TYPE D’ORGANISATION

  • Créer 2 équipes
  • Chaque équipe récupère du matériel : 1 feutre bleu, 1 feutre rouge, 1 rouleau de ruban adhésif et les instructions des différents postes (Vous pouvez inventer votre propre séquence de 8 opérations de pliage incluant 2 opérations liées à la vérification de la qualité).
  • Installer les (8) postes de travail avec les 8 types d’Opération (OP)
  • Construire 2 avions de l’étape précédente
  • Durant les itérations, les mesures suivantes doivent être prises :
    • T : Temps de fabrication par avion
    • L : Nombre d’avions livrés
    • R : Nombre d’avions rejetés (en cours de production et à la fin)
    • C : Nombre d’avions en construction (WIP)
    • Nombre d’avions non livrés : C+R
  • Préparation = 5 min
  • Durée = 12 min
  • A la fin de chaque itération, demander un feedback sur le déroulé (+, delta)

MODE D’ORGANISATION 1 : LINÉAIRE (« LA CHAÎNE »)

OP1OP2OP3OP4OP5OP6OP7OP8

MODE D’ORGANISATION 2 : PARALLÈLE (« TOUT LE MONDE FAIT LE TRAVAIL DE TOUT LE MONDE »)

        
OP1 OP2 OP3 OP4 OP5 OP6 OP7 OP8 
        

MODE D’ORGANISATION 3

OP1,2OP3,4OP5,6OP7,8

MODE D’ORGANISATION 4 : PAR ÉQUIPE ÉQUILIBRÉ

OP1,2,3,4WIPOP5,6,7,8

MODE D’ORGANISATION 5 : AGILE

Organiser comme vous le voulez en définissant un cadre de travail.

BILANS : LEÇONS APPRISES

MODE D’ORGANISATION 1

T : 3 min.L : 9R : xC : 10N : 8Feedback : Cette organisation n’a pas été très motivante pour les participants. Ils attendent, n’ont pas de visibilité sur ce qui se passe sur la chaîne et n’ont pas conscience de ce qui doit être réalisé et la manière dont cela doit être fait. De plus les tâches sont répétitives. Le résultat montre ainsi un faible niveau de résultat et de qualité. Ils aimeraient savoir ce qui a été rejeté et à quel moment cela s’est produit dans le flux et surtout connaitre les critères de rejet. Et puis aucun retour aux participants pour leur dire s’ils font correctement leur travail. L’idée pour améliorer cette organisation serait d’introduire des outils de vérification de la qualité en amont (règle).

MODE D’ORGANISATION 2

T : 11 min.L : 14R : 0C : 1N : 1Feedback : Cette organisation a donné une impression de travail en famille, ou tout du moins, très collaboratif. Elle est certes plus complexe. Mais les participants trouvent que cela leur a amené une Satisfaction personnelle. et la vision complète de la chaîne de réalisation. Ils ont appréciés l’arrivée de la qualité au fur et à mesure de la réalisation apportés par des « experts ».
Les points négatifs restent cependant de l’avancement qui semble être non uniforme et d’une impression d’avancer en mode « mouton » avec un manque d’objectivité sur l’objectif final.
Mais globalement, le ressenti est très positif : Orientation Produit, Responsabilisation, des précisions de qualité qui est arrivé au bon moment et tout cela dans un même rythme.

MODE D’ORGANISATION 3

T : ? min.L : 6 et 4R : xC : 9 et 7N : 1 et 1Feedback : Cette organisation a été ressenti comme non apprécié, stressant pour certains, mou pour d’autres, à les défauts du modèle d’organisation n°1 en pire. Le mode de compétition s’est fait réellement sentir ; certain même en ont profité pour tricher.

MODE D’ORGANISATION 4

T : 4 min.L : 27R : 6C : 2N : 9Feedback : Cette organisation mode « normalement ça marche » avec plus d’amplitude d’adaptation sur son domaine de responsabilité. Les éléments livrés montrent qu’il marche mieux que les 3 précédents.

MODE D’ORGANISATION 5

T : < 3 s. moy. (2 min. 30)L : 28R : 5C : 5N : 27Feedback : Cette organisation a mis en place une structure libre sans trop de cadre. L’équipe a fait émerger à base de techniques agiles (pair programming, test-first, auto-organisation, auto-management, leadership, etc…), un système un peu chaotique, mais elle a été plus efficace que les 4 premiers modèles.
Les participants se sont ressenti responsabilisés, en mode entraide, dans une meilleure ambiance, sans stress même s’il n’y avait pas de temps mort. L’auto-contrôle et l’auto-organisation de l’équipe semblent avoir eu un impact direct sur l’organisation qui s’est adaptée en permanence et ressenti par une émulsion d’équipe et des personnes qui n’hésitaient pas à aider les autres membres du groupe, là où il y avait besoin d’aide. Et des techniques de Test First ont été généralisées.
Introduire plus un cadre apprenant léger aurait pu être un point fort pour encore gagner en efficacité lors d’une prochaine itération.
Agile Dojo® – Interactions entre les Neurosciences et les Profils – 20 janv. 2015

Agile Dojo® – Interactions entre les Neurosciences et les Profils – 20 janv. 2015

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Les neurosciences sont un domaine de la biologie qui étudie le système nerveux, sa structure, son fonctionnement et son évolution. Les recherches en neurosciences ont montré que le cerveau humain est un organe complexe qui interagit avec l’environnement, ce qui peut influencer notre comportement, notre personnalité et nos performances cognitives.

En ce qui concerne les liens entre les neurosciences et les profils de potentialités d’une équipe, il existe de nombreuses études qui ont examiné les effets de différents types de cerveaux sur le comportement individuel et collectif, ainsi que sur les performances de l’équipe. Par exemple, une étude menée par le neuroscientifique Richard Davidson a montré que les personnes ayant des niveaux élevés d’activité dans les zones préfrontales du cerveau étaient plus en mesure de réguler leurs émotions et de maintenir un état d’esprit positif, ce qui peut les aider à travailler plus efficacement en équipe (Davidson et al., 2003).

De plus, les psychologues ont développé de nombreuses théories sur la personnalité et les styles de leadership qui peuvent être influencés par la structure et le fonctionnement du cerveau. Par exemple, la théorie de l’intelligence émotionnelle développée par Daniel Goleman suggère que les compétences sociales et émotionnelles sont essentielles pour le leadership efficace, car elles peuvent aider à gérer les conflits et à motiver les membres de l’équipe (Goleman, 1998).

Dans l’atelier décrit, le facilitateur Benoit Vassent utilise une approche métaphorique pour aider les participants à comprendre les liens entre les découvertes en neurosciences et le profil de potentialités d’une équipe. En utilisant des exercices créatifs tels que le dessin, les participants peuvent explorer les différentes façons dont le cerveau humain peut influencer les performances individuelles et collectives.

Références bibliographiques :

    • Davidson, R. J., Jackson, D. C., & Kalin, N. H. (2003). Emotion, plasticity, context, and regulation: perspectives from affective neuroscience. Psychological bulletin, 129(6), 890.
    • Goleman, D. (1998). Working with emotional intelligence. Bantam Books.
Benoit Vassent

Benoit Vassent

Consultant en management des potentialités depuis 14 ans, plus de 3000 managers formés, créateur du profil des potentialités LDC, Benoit VASSENT vous amène vers une compréhension métaphorique du cerveau humain en lien avec le management d’une équipe.

Agile Dojo® – LEGO4Scrum : Kata LEGO® & Scrum

Agile Dojo® – LEGO4Scrum : Kata LEGO® & Scrum

Les LEGO® sont souvent utilisés depuis de nombreuses années en Agile pour simuler ou recréer des environnements complexes. Avec le Lego4Scrum, nous passons à l’échelle et en équipe. 

Durant cet atelier, Lego4Scrum nous amène à redécouvrir Scrum et l’étendre sur des notions plus avancées. Il s’agit donc d’un bon moyen pour transmettre de la connaissance aux équipes. Une soirée donc qui s’annonce sous le signe du « Fun ». 

Intérêt de l’atelier

Cet atelier permet aux participants de découvrir Scrum de manière ludique et interactive, en travaillant ensemble sur un projet concret. Les LEGO® sont un support amusant et efficace pour explorer les concepts avancés de Scrum et apprendre à travailler en équipe de manière agile.

Déroulé de l’atelier 

Introduction (15 min) : Pascal Jussac présente l’atelier, le déroulement et les objectifs de la soirée. Il explique comment les participants vont travailler ensemble avec des LEGO® pour découvrir les notions avancées de Scrum.

1. Présentation rapide de Scrum (10 min) : Pascal Jussac introduit Scrum et explique les différentes étapes du processus, les rôles et les responsabilités des membres de l’équipe Scrum.

2. Mise en place des équipes (5 min) : Les participants sont divisés en équipes de 5 à 6 personnes,  choisissent leurs rôles (Scrum Master, Product Owner, membres de l’équipe de développement) et reçoivent leur Backlog avec la valeur assignée sur chaque élément.

Premier itération :

4. Planification du sprint (5 min) : Les équipes planifient leur premier sprint, en utilisant la ville LEGO® comme projet.

5. Sprint (15 min) : Construction de la ville LEGO® (10 min) : Les équipes construisent une ville en utilisant les LEGO®, en se concentrant sur la communication, la collaboration, la planification et l’organisation de leur travail. Les équipes travaillent sur leur sprint, en respectant les règles et les étapes de Scrum.

6. Revue de sprint (5 min) : Les équipes présentent leurs résultats au Facilitateur de l’Agilie Dojo® et discutent des améliorations possibles.

7. Rétrospective (10 min) : Les équipes réfléchissent à leur expérience et discutent des points positifs et négatifs, afin d’identifier des pistes d’amélioration.

8. Pascal relance un second Sprint de l’étape 4 à 7. 

9. Debriefing (10 min) : Pascal Jussac

10. Conclusion : Pascal fait le bilan de l’atelier et rappelle les principaux enseignements de la soirée (importance de l’implication client dans la terminaison, leadership, satisfaction client, etc…)

INTERVENANT

Pascal Jussac est ingénieur, Coach Professionnel certifié en 2002, Scrum Master certifié en 2010 et actuellement Coach Agile chez Thales, un groupe de 65 000 personnes en pleine transformation Lean et Agile. Ayant à cœur de concilier la réussite des projets informatiques et l’épanouissement des personnes, il forme et accompagne de nombreuses équipes à travers la France, à devenir toujours plus agiles. Le jeu est l’un de ses outils de prédilection pour faciliter l’apprentissage par le plaisir.

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